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Mercredi, 6 juillet 2011Baklavas et tournesols
J'avais salopé le blog en supprimant les templates par défaut, s'en suivit une suite de conneries. Je m'étais dit, ça va sûrement poser problème, mais je vais essayer car ça pourra se réparer facilement. Ça a juste pris plus de temps car je suis con et en manque de sommeil mais j'espère me rajuster.
Donc, ces vêtements que je porte là viennent d'endroits différents. J'ai acheté la blouse à la Redoute, le reste m'a été donné ou vient de marchés aux puces. Le collier est un rosaire sal-op ... profané avec une broche accrochée dessus, j'ai le serre-tête depuis ma plus tendre enfance et c'en est l'un de mes meilleurs souvenirs.
J'ai déjà visité une vieille maison avec des papiers peints bleus à rayures verticales jaunes et de grosses tournesol dessus. De grosses fleurs de tournesol. Il y avait un peu de blanc aussi, en rayures verticales, et deux plus fines lignes bleues foncées encadraient le long vomi de pâté jaune de tout côté. Dernièrement j'ai cherché des trucs sur les nouveaux pokémon. Je me réintéressais beaucoup à Pokémon, j'ai rejoué aux anciens jeux, réécouté les cédés, les génériques, revu des épisodes, cherché des trucs. Et puis ça retombe, mais cette fois-ci j'aurai tous les légendaires. Il faudra que j'essaie Noir ou Blanc quand j'ai du pognon et que je poste plus sur ce bidulon. Il m'arrive souvent de devoir parler à des gens et de me retrouver coincée dans une conversation boucle, une conversation prison. Ils parlent, et je réponds, et je pense que la prochaine phrase ce sera bonne journée (et à jamais) car moi je pense que ma phrase appelle une phrase « bonne journée. » car c'est une phrase qu'on dit souvent avant les bonnes journées, mais non. Et le pire c'est qu'à la fin, il leur arrive de demander à me revoir, de dire « quand est-ce qu'on se revoit ? » comme une évidence. Ou de vouloir m'embrasser (ou de me demander de les toucher, ou de les suivre). Et de me demander pourquoi non ! Pour ce que ça importe, j'ai essayé de dessiner des trucs. Ça doit m'arriver une fois tous les cinquantes, mais c'est parce que j'ai lu un bouquin sur les crayolas. D'habitude j'arrête parce que le premier jet correspond pas à ma pensée, ou alors il est bien mais correspond à une variante de ma pensée que je n'ai même pas eu le temps de penser. Oui, j'adore poster plein d'images partout. Si quelqu'un tombe là par hasard avec un ordinosaure il va se planter le fossile ça c'est sûr et ma vengeance je l'aurai. Je vous invite à critiquer vif ce bordel. Premier essai, moquable (oui et celui en haut à gauche sur le bordel aussi). Les chaussures du premier sont supposées être similaires, un peu, à des cothurnes et le t-shirt Nosferatu invisible est là parce que les grecs sont à l'origine du mythe vampirique, broucolacas et bourekis, si l'on en croit Voltaire. À ce propos, j'aimerais la veste de Rudolf du Petit Vampire. Depuis que je suis toute petite. (Pour ce qui est de maintenant, j'aimerais vous souhaiter des rêves de rave déplaisants.) Souffrez en silence, maintenant.
Posté par Maxens M. Finch
dans Mode
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Tags pour ce billet: essais au dessin, exprimer pensée par crayon, fogrikolos, outfit, sunflowers, tenue, tournesols, vampires, vieilles piaules
Vendredi, 13 mai 2011Tendance de mode : l'âgisme, à porter cet été, avec des cache-mires ou une camisole de force.
Vous voyez Tavi Gevinson ? Oui, je vous entends : « elle a tel âge, donc ce qu'elle fait est incroyable et il faut rappeler son âge de façon condescendante à chaque coin de phrase ! » ou encore « elle a tel âge, il est vraiment insultant qu'elle reçoive autant d'attention à cet âge ! c'est du jeunisme ! »
Laissons la première remarque de côté. Vous clamez qu'il est jeuniste et donc âgiste qu'elle reçoive autant d'attention à cet âge, malgré cet âge. L'attention ne devrait pas dépendre de l'âge, mais de la qualité du travail, des connaissances, de la créativité, de ce pour quoi on accorde de l'attention aux personnes non-discriminées dans votre milieu. Jeunes et vieux devraient recevoir autant de reconnaissance en se basant sur la valeur de ce qu'ils font. L'âgisme ne s'applique pas qu'aux seniors. Par exemple, on pense des choses comme : « C'est drôle de voir des gamines jouer les grandes. » Est-il drôle de voir une femme remettre sa bagnole sur pied ? Cette phrase est un exemple-type de phrase qui nie la valeur voire l'existence de l'intérêt que certaines personnes portent à certains sujets en prenant leur âge pour prétexte. Parallèle : si l'on dit qu'il y a certains sujets auxquels les enfants s'intéressent pour jouer aux adultes et pour cette unique raison, on dit qu'il y a certains sujets auxquels les femmes s'intéressent pour séduire les hommes ou obtenir certains privilèges. « Perso, je n'ai pas envie de prendre modèle et encore moins leçon sur des gamines pour m'habiller. Je suis adulte et fière de l'être. Ma façon de m'habiller reflète mes expériences, mon chemin parcouru... Elle a évolué comme moi avec le temps. Plutôt que de les monter en épingle, et de céder à un jeunisme aussi stupide que pathétique, apprenez donc à ces jeunes filles la valeur du travail bien fait et de l'effort. Le vrai vêtement couture, c'est l'oeuvre d'un artistan vituose doté d'une âme d'artiste. » Je conviens qu'il y ait un certain jeunisme dans le milieu de la mode, hors de la sphère amateure, majoritairement dans le mannequinat et dans la publicité. Vous impliquez qu'une personne ne connaît pas la valeur de l'effort parce qu'elle est jeune, certaines personnes impliquent que d'autres personnes devraient se taire du fait de leur jeune âge. Je comprends que l'auteur de ce commentaire faisait partiellement part de son expérience, mais aux dépends de la considération d'autres personnes en tant qu'égaux. « Plutôt que de les monter en épingle, et de céder à un sexisme aussi stupide que pathétique, montrez plutôt à ces femmes la valeur de l'huile de coude et du travail bien fait. » Un enfant peut très bien être artisan, un artisan peut très bien être un enfant, tout le monde peut avoir une âme d'artiste. Il y a un mot en anglais, othering, qui pourrait se traduire par autruisme si Philippe Muray ne nous avait pas déjà chourré le mot (ou peut-être autrisme ?) dont voici une définition dans un contexte adaptable ici, ainsi qu'une définition plus philosophique ici et une réflexion sur le fait de se nommer et de se mettre dans une position d'autre, malheureusement en anglais. L'idée peut être comparée à une forme d'ostracisme. Les deux dernières phrases du commentaire sous-entendent qu'aucun enfant, adolescent, jeune ou mineur ne peut faire d'artisanat, avoir une âme d'artiste, connaître la valeur du travail bien fait et de l'effort et que ce sont des valeurs intrinséquement liées à l'âge adulte, qu'être artisan (au sens large), avoir une âme d'artiste,... nécessite d'être adulte : c'est de l'othering. Parenthèse : personne ne demande de prendre modèle sur qui que ce soit, et nous ne prendrons pas leçon sur des âgistes au sujet de la valeur du travail bien fait, de l'effort et de l'art car ils ne verront jamais, par principe, ces valeurs chez la cible de leur âgisme et peuvent donc les manquer et les omettre et les nier partout ailleurs ou en confrondre d'autres pour celles-ci. Vous pouvez et avez le droit de prendre modèle sur ces gam^Wpersonnes, il s'agit d'amateurs cherchant à partager un sujet d'intérêt, mais personne ne vous le demande ou ne vous y oblige. Parlons encore de monter des jeunes en épingles. Il est vrai que, souvent mais pas dans cet article, c'est à cause d'un étonnement du fait que le résultat du travail, de la créativité soit différente de celle attendue à cet âge. Les remarques du type « c'est incroyable, parce qu'il est si jeune » ne sont pas jeunistes, car elles suggèrent une exception, quelque chose qui va à l'encontre de la règle et des lois naturelles, que la majorité des jeunes n'ont pas d'habitude certaines qualités que les adultes ont, et qui sont donc moins notables, moins incroyables quand un adulte les possède. C'est aussi âgiste, mais c'est un symptôme d'âgisme envers la jeunesse et pose plus de problèmes aux mineurs qu'aux adultes, « c'est vrai que tu es bon, mais tu es toujours un enfant », « t'es douée, pour une fille », « c'est incroyable, c'est rare les hispaniques qui ont le bac ! ». Comment appelle-t-on une discrimination se basant sur l'âge ? Une discrimination âgiste. N'est-ce pas âgiste de penser que l'âgisme ne s'applique qu'aux personnes plus âgées, sachant que les personnes âgées ont légalement beaucoup plus d'agence sur leurs corps et leurs vies que les enfants ? Le jeunisme désigne une discrimination se basant sur préférence de la jeunesse, l'article commenté n'était connoté d'aucune préférence et n'est donc pas jeuniste. Il propose de contrebalancer une mauvaise image de la jeunesse à une nouvelle, meilleure image de la jeunesse. Il donne des modèles aux jeunes. Il ne dit pas qu'être adulte, c'est moins bien. Est-il adultiste ? Il ne dit pas que ces jeunes sont bons uniquement parce que ce sont des jeunes, ou qu'ils le sont malgré leur jeunesse. L'article en lui-même ne péchait ni envers la jeunesse, ni envers les personnes plus âgées. Dites-moi, est-ce qu'un article sur les femmes dans le milieu de la mécanique serait sexiste envers les hommes uniquement parce qu'il ne l'est pas envers les femmes ? Les exemples ci-dessus ont été trouvés sur cette page. Il y d'autres textes intéressants (encore en anglais !) concernant la chose sur le site de FreeChild Project. Mercredi, 27 avril 2011Structures
Photographies mal prises dans l'écurie à bicycles de notre immeuble. J'ai pensé que je ressemblais à une poupée vaudou hollywoodienne avec ces habits, à cause de la structure ou que sais-je. Je suis en train de fabriquer une poupée en tissu avec une poche de faux sang à l'intérieur et attachée, par le cou, à un lacet, avec une boucle par-dessus le tout pour l'accrocher à un doigt et faire comme si elle s'y était pendue.
J'ai acheté la broche avec les personnages brodés à des gens qui militaient pour telle action, tel mouvement et m'avaient attrapé le bras. À ce moment là, je ne portais pas de couleurs, donc je leur en voulais de m'avoir extorqué deux euros en m'attrapant le bras et en me tenant figurativement la jambe. L'autre broche (elle va bien avec le fait qu'il y ait des saloperies de feuilles et de bourgeons un peu partout) m'a été donnée par deux sixièmes quand j'étais au collège ; je ne sais pas pourquoi, mais elles m'ont donné plein d'autres bidules. Je crois qu'elles m'aimaient bien, mais elles ne m'ont jamais expliqué pourquoi. Et puis je me suis fâchée avec pour une sombre histoire de rendez-vous, apparemment on était tous présents au même endroit au même moment sans se voir. Je pense que j'ai dû faire un pas sur le côté dans une autre dimension à un moment. Ma tante m'a donné ce gilet, une professeure de religion m'avait donné le collier en sixième. Le chemisier est de La Redoute, la ceinture de ma mère (par-là je veux dire qu'elle lui appartenait quand elle avait mon âge et qu'elle me l'a donnée), le couvre-chef acheté cinq euros au Léopard, et le bermuda à BetaBoutique. Je voulais juste essayer ce putain de bermuda. Le chien nous a été donné par une amie de ma mère quand il avait, quoi, deux mois ? et c'est une femelle. J'aime parler de structures parce que j'ai lu un bouquin où qu'ils décrivaient qu'Yves-Saint-Laurent avait engueulé l'une de ses amies pour un cas de structure gâchée à cause d'un sac ou d'une paire de chaussures ; je trouve que ça fait mécanique et que ça donne l'air intelligent, et puis c'est vrai, les structures c'est important. Il faudrait que je dise un mot sur le structuralisme pour terminer en beauté, mais je ne connais rien au structuralisme. Vendredi, 22 avril 2011Mon premier avril
Ça doit être assez ridicule à écrire.
Le premier avril de cette année, je suis allée à la Bibliothèque Municipale de Strasbourg, celle du Centre-Ville. Il y avait des bouquins que je voulais. Je voulais des livres de ce type qui avait écrit les Internet Detectives, en fait je voulais ces bouquins précisément, et Pretending to be Normal. Je voulais ces bouquins parce que je les avais lus quand j'avais 11 ans et que j'aime lire ces saloperies pour voir comment les choses qui se rapportent à l'informatique sont représentées, la dépiction qu'on en fait. À vrai dire je pourrais dire ça de n'importe quelles choses, mais la dépiction de l'informatique ça fait bien en société. Je pourrais aller au CRA, mais c'est trop relié à l'ESPAN. Ils n'avaient ni Internet Detectives, ni Pretending to be Normal. La nana m'a dit qu'il le noteraient comme égaré, disparu. Donc j'ai pris un Dictionnaire de Psychiatrie et Psychopathologie clinique, le Samouraï virtuel, un bouquin d'analyse, le Schachspiel de Siegbert (H. H. en prendrait note) et Filer Droit de Michael Coleman. Le Samouraï virtuel est très bien si vous voulez. L'humour, l'univers, la société décrite. C'est ce que je portais ce jour-là. Les couleurs ne sont pas si bleues dans la réalité. Mes cheveux ne sont pas du tout comme ça. La nana de la BMS avait un poisson en papier sur la droite du dos. J'essayais d'amuser mon chien. Le bermuda et le gilet sont de La Redoute, mais le reste a été trouvé dans une brocante --j'arrache toujours les étiquettes et je n'ai aucune idée d'où ça a pu originer. À part le chapeau ; le chapeau je l'ai eu aux galeries La Fayette. Plus tard, l'un des frères de ma mère lui avait donné ça pour mon oncle, le mari de sa sœur, qui est brocanteur : Ce sont des vieux Historia. Celui-ci est de Février 55. Elle me les a donnés en attendant que le type les cherche. Ça parle de soucoupes volantes, de comment Napoléon a paginé nos rues, d'Alexander Selkirk. Vendredi, 8 avril 2011« La mode n'invente plus rien », négation sans nommer Hussein Chalayan -- oups.« In the 21st century the technology revolution will move into the everyday, the small and the invisible. » -- Mark Weiser Il m'arrive toujours de lire ou d'entendre ce genre de choses. Vous êtes dans une absence de train, et vous entendez une nana dire qu'elle s'intéresse à la mode, mais qu'elle n'est pas une « bimbo » : elle sait que la mode n'invente plus rien depuis la moitié du siècle dernier. Un article vante les mérites des friperies, parce qu'en mode tout a déjà été fait. Un chien mange un os. C'est vraiment très ennuyeux, ils n'expliquent jamais pourquoi, je dois me l'expliquer moi-même. Il y a encore tout un tas de choses qu'on peut qualifier d'innovations technologiques et appliquer à la mode, et qui se font en ce moment, et à partir desquelles on pourra encore inventer d'autres concepts dans le futur, en partant de l'idée que la mode a une visée esthétique. Au siècle dernier, on avait par exemple porté de l'électronique, dans un but pratique (calculateur analogique d'Edward O. Thorp et Claude Shannone, destiné à être porté mais n'ayant aucun but esthétique du fait qu'il ne devait même pas être vu puisqu'il servait à tricher à la bandieu de roulette, WearComp de Steve Mann) ou imaginé par la science-fiction majoritairement dans un but, encore, pratique. Dans les années 90, avec l'explosion de popularisation d'un tas de trucs chouettes, il me semblerait (= j'ai acheté un catalogue de calculatrices et autres bidules de 1990, j'ai lu quelques articles dans un magazine qui autrement cherche à vendre des ardoises électroniques new age, je n'en sais pas plus.) que les ordinateurs à porter et à porter au poignet (wearable computer, wrist computer, frenchisation) se soient mis à prendre une apparence plus conventionnellement jolie, tout en ayant un but principalement pratique, tel qu'afficher l'heure et la météo. De nos jours, l'intégration de l'électronique dans les vêtements se fait plus souvent, particulièrement en haute couture, d'un voulu esthétique, et la chose n'est parfois pas esthétique en elle-même mais du point de vue de son interaction avec la personne habillée, l'état de cette même personne, d'autres personnes ou l'environnement, (Iris Van Herpen, Anouk Wipprecht, le collier de la femme du fils des parents de Kevin Warwick en est une représentation épique, il me faut plus de mots.) bien qu'il y ait des vêtements du même type qui aient une dimension première pratique (un pull qui se réchauffe automatiquement selon la température externe ou celle du porteur, un bonnet qui indique le nord, une veste qui envoie des décharges éléctriques) ou partage sa dimension pratique avec une dimension esthétique plus large (gants à secret). Évidemment, comme la mode a rapport aux structures et aux textiles, je pourrais continuer en racontant qu'on invente de nouveaux trucs de ce côté-là, les fantasmes visqueux d'Issey Miyake, comment l'on s'applique à imiter les mécanismes de défense de certains animaux avec ça et comment que c'est amusant de donner des algorithmes à manger à des machines à broder pour faire de la dentelle basée sur les nombres de Bernouilli ce qui a un rapport lointain avec n'importe quoi. En continuant dans l'inspiration scientifique, on doit bien pouvoir faire un pendentif jardin chimique. Vous direz : une partie de ce qu'on dit nouveau est un rimaque du précédent. Vous n'aurez pas l'air intelligent si vous n'êtes pas Roland Barthes. Références : http://www.fashioningtech.com/ International Symposium on Wearable Computers : Symposium International sur les Ordinateurs à Franciser http://www.ifaiexpo.com/ IFAI Expo : Francise la Technologie et les Matériaux http://newtextiles.media.mit.edu/ avec liens intéressants http://www.fabrick.it Ce truc utilise des rubans conducteurs (conductive ribbon) au lieu d'utiliser des fils conducteurs, et y a toute une histoire de briques (bricks), ça veut dire qu'on doit pouvoir construire une maison avec. Ou au moins un rideau. Arduino LilyPad et un tutoriel. Ce truc dort depuis le 31 Janvier, il faut le publier. Samedi, 18 décembre 2010Réconciliation externe« Mary Douglas's work, as well as feminist deconstructions of the meanings contained in representations of the female body, inspired a generation of anthropologists and cultural theorists to explore the human body as a text that can be read to reveal a great deal of cultural information. This symbolic function of the body applies not only to the taboos and rituals described by Douglas, but to parts of the body, to representations of the human body—in artworks, medical texts, racial ideology, and advertisements—and to decorations and modifications of the flesh, from ornaments, hair fashion, cosmetics, masking, costuming, tattooing, piercing, and scarification, to body fattening or thinning, muscular development, and cosmetic surgery. However extreme or seemingly whimsical the practice, it always has meaning, always is shaped by the sociocultural context in and through which people act. Anthropologist Terence Turner called this dimension of the body the "social skin" a concept that applies just as aptly to the nineteenth-century corset and twentieth-century implants as to the traditional neck rings of the Karen peoples of Burma or lip plugs of the Amazonian Kayapo. » Read more: The Body - The Social Skin - Traditional, Modifications, Cultural, Racial, Example, and Meanings « Finding ways to express yourself in a socially acceptable way may be hard when you're filled with emotions. Social Skin is series of moving accessories that help to improve the communication between people by expressing these emotions. The project resulted in three prototypes, out of which two are conceptual prototypes and the third, a necklace, is fully functional. » Social Skin Emotional Accessories « L’analyse culturelle ne considère pas la culture comme un système figé qui gouverne les actions des individus en modelant leur personnalité, mais comme un cadre de référence, certes donné, mais que les individus façonnent et transforment au cours de leurs interactions. Elle part des individus qui construisent le sens de leurs actions selon les exigences du contexte social dans lequel ils se trouvent. Dans leurs transactions, ils mobilisent des valeurs et des principes qui leur permettent d’agir avec les autres et de justifier leurs actions selon des modalités qui puissent être comprises et acceptées par les autres. Ces unités de culture sont une composante active dans les négociations entre les individus lorsqu’ils cherchent à produire un sens partagé. Elles présentent une certaine plasticité dont l’analyse culturelle cherche à rendre compte en faisant appel aux orientations et aux contraintes que présente le contexte social. » L’analyse culturelle de Mary Douglas : une contribution à la sociologie des institutions « Social Skin is a project by Seçil Ugur and Laura Duncker, made at the Wearable Senses research theme at the Industrial Design department at the Technical University of Eindhoven, in collaboration with Florian Neveu (technology) and supervised by Stephan Wensveen. They are the first prototypes in Seçil's continuing research for her PhD in Design at the Politecnico di Milano, supervised by Raffaella Mangiarotti (Design Faculty), Monica Bordegoni, Umberto Cugini and Marina Carulli (Mechanical Engineering Department). » Social Skin Emotional Accessories
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